Le temps file. Trois heures ont passé. Pendant lesquelles, parfois, en fermant les yeux, on se serait cru dans une cave de Harlem, dans les années 1930. Jouissif et énergisant. Et on a même l’impression de savoir (un peu) mieux danser. (Extrait)
Le parisien
«Sortir à Paris : on a testé un bal swing» Le Parisien, 15-06-2019, Pauline Conradsson